lundi 22 décembre 2008
Ma scolarité
Rien à dire ma scolarité était parfaite!je collectionnais les billets d'honneur qui étaient de mise dans les années 50.La premeière place?Nous étions deux à nous la disputer,Camille Schmitd et moi!parfois nous étions toutes les deux premières ses parents nous préparaient des goûters speciaux après chaque classement,je repartais avec un lot de jouets,pour ce qui est de la troisième place elle revenait à Francine Roux.Je devais avoir 11 ans quand ma mère a décidé de quitter ses employeurs pour des broutilles.Entre temps nous avions encore déménagé mais pas loin puisque tous les domiciles que maman a occupé se situaient dans un rayon de 100m.Là nous étions logées chez mr et mme Gonzales,un vieux couple nous avions comme voisin mr et mme Ferrer.Ma mère est resté queques jours sans travail,puis mme Manegat l'a embauchée seulement c'était dans une ferme à près de 4km du village,elle devait s'y rendre en cariole à l'époque.Les examens étaient proches et c'est le moment que j'ai choisi pour faire l'école buissonnière,j'allais à l'école certes mais par derrière,je perturbais mes camarades,je donnais les reponses aux questions de la maitresse sur une ardoise,l'obligeant à fermer la fenêtre,je revenais à la maison.A quelques mètres de la maison existaient deux rangées de grands oliviers,j'en avais choisi en particulier les branches du sommet étaient presque horizntales.Je grimpais souvent sans me faire repérer et là haut je m'installais confortablement,et observais les passants.10 jours d'absence la directrice a convoqué ma mère qui ignorait tout,elle ne prêtais presque plus attention à moi,quand elle a appris que je n'allais plus à l'école ,elle en a parlé à vieux garde champêtre de Kristel,pour m'intimider ça a marché un moment,mais j'ai recidivé,je me promenais dans St Cloud,j'aimais aller devant chez Mario la patronne avait un perroquet qui me fascinait,et m'amusait quand je voyait certains automobilistes stoper quand Coco imitait le sifflet du policier.Puis je retournais à mon arbre,ma soeur était cruelle avec moi,quand il m'arrivait d'emprunter une des robes que son père lui achetait elle avait une phrase qui était cuisante"vas sur la tombe de ton père il t'en achètera"je n'ai jamais oublié cette phrase mais j'ai pardonné.J'avais lié amitié avec Marie-Helène Perez son père était chef des gardiens de la prison de St Cloud.Elle avait deux frères Jean-Marc et Jean-Jacque,quand la poste fermait ses porte nous allions nous asseoir sur les marches pendant que les garçons faisaient du velo.
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