vendredi 26 décembre 2008

Le gaz

Nous nous sommes retrouvés au poste qui n'était pas très loin.H a exhibé le livret de famille et les cartes d'identité,l'officier essayais de comprendre mais je déclarai que je ne voulais pas le suivre.Au bout d'un instant le policier nous demandé de retourner à l'hotel pour la nuit et de revenir le lendemain matin.Nous sommes sortis au premier virage la 504 était là son ami est sorti de voiture a ouvert la portière arrière H m'a poussée à l'interieur allongée sur le tapis et ses pieds sur la tête,sans escale nous sommes arrivés à Cap Falcon à quatre heure du matin.H m'a trainée jusqu"à la chambre il est allé chercher des chaines et des cadenas,enchainée nue comme à l'accoutumée,il s'est lui même deshabillé arrivé à sa ceinture j'y ai eu droit,ses chaussures en plein visage et il s'est couché.Je pensais que c'était fini mais la lendemain j'ai vecu l'enfer,je croyais que c'était la mort qui me visitait.Tabassée à mort le visage blessé de partout,les lèvres ouvertes,il a ouvert les cadenas pour me placer sur une chaise les mains liées derrière le dos,chaque pied à un pied de chaise il est allé chercher la bouteille de butane avec son tuyau qu'il a placé dans ma bouche a ouvert le gaz et pincé le nez.J'ai prié je savais que c'était reellement la fin,je sentais ma tête grossir et une espèce de sonnette et j'ai du m'évanouir je ne sais pas combien,je suis restée inconsciente,quand je me suis reveillée la fenêtre était ouverte j'étais allongée sur le sol,mes chaines étaient là.Sa famille allait et venait dans l'indifference totale,pas même un regard de compassion.Je n'ai eu droit qu'à une gorgée d'eau accompagnée d'un coup de pied je respirai difficilement.Le lendemain la soeur de H qui s'occupait de l'épicerie est venue le voir en catastrophe les gendarmes étaient devant la maison.

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